lundi 30 mars 2009

Le béluga orange

L’histoire du béluga orange entré de force dans le bateau (2005)
J'aurais une autre anecdote de mon cru si ça vous tente de visualiser et de vous tordre de rire.

Alors c'est un fait vécu; il y a 2 ans, j'avais une corpulence assez respectable assez pour me prénommer "béluga".

L'histoire vécu se passe au chalet de mon frère près d'un magnifique lac.
Un bon après midi, il décide que nous allions faire de la trippe moi et ma belle-soeur. Faire de la trippe= se faire trainer sur une immense trippe soufflée par un bateau à moteur.

Alors on s'installe; en fait nous avons la moitié du corps qui se tient à des poignées sur la trippe et le reste qui traine à l'eau.

Il part son bateau, il prend de la vitesse, et ça commence à être dur sur les bras ( j'ai des problèmes récurents de tendinites aux épaules).

Alors je me dis "je vais lâcher car je ne veux pas avoir les épaules en feu". Ce que je fais.

Là mon frère n'est pas content, il arrête le moteur et il a dans sa tête de cochon ( idée bien fixe, inchangeable) de me monter à bord !

Je lui dis que je veux aller à la nage, il ne veux rien entendre. Je sais moi que je suis bien trop pesante pour qu'il me hisse à bord ( près de 90kg), mais il n'en démord pas.

Et j'avais oublié qu'il avait ses 2 neveux adolescents avec lui qui ne me connaissent pas plus qu'il faut.

Alors il tente une première fois de me tirer à bord, incapable, moi je rie à mourir car je sais que c'est impossible.

Mais je vois bien dans ses yeux que ça va passer par là, car il est orgeuilleux et qu'il en a décidé ainsi.

Plus il travaille à hisser le béluga orange ( mon maillot de bain est orange--pas voyant du tout), plus je rie et je perds toutes mes forces et plus il est enragé.

Il ya deux hommes sur un quai pas trop loin qui se bidonnent pas possible.
Après plusieurs minutes de ce manège, il decide de prendre le taureau par les cornes(mettre toute la vapeur) et m' entrer dans le bateau.
Il fait une clé de bras et force tellement fort qu'il réussit.
J'ai revolé dans le fond du bateau la face dans les cordages et le derrière en l'air !

Je n'étais plus capable de bouger car j'avais trop ri. Il s'inquiétait pour moi : es-tu correct, je disais entre 2 fous de rire "oui oui laisse moi une minute".

Et au moins au bout de deux minutes j'ai trouvé la force de me hisser sur mes bras et d'entrer mon gros derrière dans le fichue bateau.

Mais si vous imaginez la scène , c'est hilarant ! On a rit, c'est pas possible et les adolescents ne m'ont plus regardé de la même manière !

Je leur disait "Hein, là vous allez avoir de quoi à raconter", et on riait tous en coeur.

Alors c'était une anecdote vécu que je ne suis pas prête d'oublier.

Espérant qu'elle vous aura fait rire autant que moi.

2 commentaires:

  1. Et que dire du jour oû tu conduisais le bateau et que j'étais derrière et te criait retourne au chalet je veux arrêter et comme tu ne m'entendais pas bien tu ralentissait pour assourdir le moteur pendant que moi je m'engouffrais dans l'eau et me remettais à crier: continue! ... on repartait de plus belle je t'entendais rire mais jamais on ne se dirigeait vers la rive tant et si bien que j'ai laissé aller la corde afin de pouvoir me ''reposer en nageant jusqu'à la rive'' Ouf! J'avais les jambes mortes et toi tu était fatiguée de RIRE!!! hi! hi!

    RépondreSupprimer
  2. Ah que oui, je ris tellemtn que j,en pleure ; il faut vraiment que je l'écrive cette histoire si hilarante. Mais comme tu as le tour de bien synthétisé la chose ; je viens de raconter l'histoire à l'homme, et il était crampé lui aussi.

    Belle Francesca, tu es ma meilleur et merci de t'être inscrite. Avec ton beau sourire et tes beaux yeux bleus tu me fais un beau portail ( pour ne pas dire poitrail )

    Bisous

    RépondreSupprimer